La photographie explore une relation interdite et intrigante, celle d’une femme mariée et d’un homme qui, par sa position, se retrouve lié à elle. On peut imaginer le cadre professionnel comme point de départ, où l’attraction se développe subtilement, nourrie de regards volés et de non-dits.
Le terme ‘subalterne’ suggère une hiérarchie, une dynamique de pouvoir qui intensifie la tension. La femme, peut-être frustrée ou négligée dans son mariage, trouve une forme de validation ou d’attention auprès de cet homme. L’interdit devient un catalyseur, exacerbant le désir et la curiosité.
Les images capturent probablement des moments de vulnérabilité et de désir. Des scènes intimes suggèrent une intimité croissante, allant au-delà de la simple camaraderie professionnelle. Le langage corporel, les expressions et les gestes trahissent l’attraction mutuelle.
La photographie explore également les thèmes de la culpabilité et de la transgression. La femme est tiraillée entre son devoir envers son mari et son désir pour cet autre homme. Le risque d’être découverte ajoute une dimension d’excitation et d’anxiété à leur relation.
En fin de compte, la série offre une réflexion sur la complexité des relations humaines, la nature du désir et les conséquences de nos choix. Elle invite le spectateur à s’interroger sur les motivations de ces personnages et sur les limites de la moralité.









